« J’veux juste pas que tu t’arrêtes »une supplique à la vie à la mort, dans laquelle il répète à son âme sœur "J’me fous des chansons qui passent / J’veux juste que tu m’embrasses "
Tout ce qui est important tient en trois mots et une phrase, le reste n’est que circonvolution, filtre, blabla... que tu écoutes du punk ou Mozart .
Ce morceau est ce que l’on appelle une chanson sans filtre, elle va a l’essentiel pendant plus de 3 minutes et ne fait aucun détour. Les mots sont efficaces et simples, la mélodie enveloppe le tout et nous embarque dans une envie soudaine d’un baiser ou d’une déclaration d’amour. Une chose est certaine est que cette chanson va donner des envies soudaines après écoute et pourquoi pas servir de témoin lors d’une déclaration ou simplement d’une mise à nu.

Au jeu de mot très bien trouvé « j’me fous des chansons qui passent » et nous faire entrer celle ci en tête après écoute nous laisse à penser que l’amour selon Marois n’est pas une mince affaire.

L’homme qui déteste les costumes se raconte en mélopées, en mises à nu,
sans manière ni marche arrière, à l’image de cette chanson.

Timbre grave, voix parlée-chantée, parfois déchirée, lézardes de guitare électrique crevant des orages d’orgue voilà ce qui vous attend en ouvrant le lien ci dessous.

« J’veux juste pas que tu t’arrêtes »

Lien you tube
https://youtu.be/X_WUxe5nzgM