La vraie joliesse est étonnante, comme l’est cette bien belle femme pleine de fraîcheur sans artifice, mystérieuse, un brin sauvage et carrément féline à souhait.

Martine la sensible, Martine l’indisciplinée, Martine la provocatrice poétesse de sa peinture qui nous bouleverse tout en nous subjuguant et en nous enchantant sans même pouvoir comprendre le mécanisme irrationnel caché derrière la profondeur de ses toiles, lequel nous échappe totalement. En regardant ses créations on se sent bien, tout simplement, comme si sa peinture n’était en fait que la projection de nos propres pensées inscrites inconsciemment au plus profond de nous.
Cette Martine est une sorte d’alchimiste sachant mélanger, à l’aide de son pinceau de fée, les couleurs et la simplicité pour les faire ressembler à de l’extraordinaire, voire à des œuvres empreintes de certains mystères de la création du monde.

C’est en découvrant ses peintures que je me suis arrêté sur cette femme, laquelle a su me faire rêver et me transporter dans une dimension dont je voudrais bien ne plus jamais sortir, comme si son univers était soudain devenu mon havre de paix.

Cette femme est dangereuse parce qu’elle détient un incroyable talent, celui qui vous happe jusqu’à aller hanter vos rêves, celui que vous voudriez admirer durant des heures sans jamais vous en lasser une seule seconde, celui qui la fait ressembler à ce rocher sur lequel on se pose pour laisser divaguer nos pensées au rythme du flux et du reflux de l’océan, tout en posant notre regard sur cet horizon lointain nous aidant à faire le vide en nous, pour retrouver enfin la sérénité de ce que devrait être la vraie vie.

Devant les œuvres de Martine, vous allez retomber dans l’insouciance et la quiétude de votre enfance.
Martine Verschooren exposera ses œuvres à Paris, en avril 2012, dans la galerie d’art contemporain de Véronique Mazert au 110 boulevard de Courcelles, dans le dix septième arrondissement.

http://www.martinev.be/