Khalid Cheikh Mohamed a-t-il aussi voulu tuer le pape ? (sic)

Khalid Cheikh Mohamed a-t-il aussi voulu tuer le pape ? (sic)

Rien ne va plus chez Mickey ! Après avoir tenté de nous faire croire que deux avions pouvaient faire s’effondrer en chute libre les Twins, voilà t’y pas que l’on tente de nous enfoncer dans le crâne le plus gros bobard de tous les temps depuis que Jésus a marché sur l’eau. De qui se moque-t-on ?

Le cerveau du 11 septembre 2001 serait passé aux aveux depuis sa geôle miteuse de Guantanamo, nous informe-t-on avec le plus grand sérieux. Quatre ans après sa capture, celui que l’on désigne comme l’organisateur des attentats du 11 septembre 2001 – sans jamais en avoir apporter la moindre preuve – serait passé à table, avouant 31 actes et projets d’attentats entre 1993 et 2003. Pas moins ! De consternante cette information en devient très vite insupportable quand on sait que plus de la moitié des Américains demandent une révision du rapport officielle et la mise en place d’une réelle et objective enquête … Sans succès. La moutarde nous monte au nez quand on lit les études scientifiques et les témoignages oubliés sur l’effondrement des Twins … sans parler de la petite dernière à s’être implosée toute seule, par le miracle d’un simple feu sur deux étages … Il est grand temps de (re)faire une mise au point et de se pencher sur les bons dossiers.

Voilà bientôt six ans qu’eut lieu le plus extraordinaire attentat de l’histoire moderne de l’humanité. Voilà bientôt six ans que la thèse officielle se lézarde de toutes parts et qu’il convient d’admettre - à moins d’être totalement idiot ou inféodé aux Néoconservateurs américains - que la vérité est absente de bien des réponses. Ainsi, le doute - mal plus sournois encore que la rumeur - s’est instauré au détour d’une question, d’une information, d’une erreur, d’une évidence. Et, tel un château de cartes pris dans une tempête, la thèse officielle a volé en éclats.
Mais alors, que s’est-il passé le 11 septembre 2001 ?

Personne n’en sait rien puisque dès que l’on évoque l’idée d’une omission ou d’une erreur, d’une invraisemblance, d’un quiproquos de la Commission du 11 septembre l’on est systématiquement insulté, voire dénigré ... Plusieurs sites de grandes qualités ont vu le jour sur le Net - dont ReOpen911.info. Des universitaires américains se sont emparés du dossier et ont étudié dans les moindres détails les faits, rien que les faits ; et leurs conclusions sont très troublantes ...

Quand tout le monde parle d’une seule voix la personne dotée d’un minimum de sagacité et d’intelligence commence à se demander si elle perd le sens de la mesure, ou si on est en train de la manipuler. C’est pour cela que les explications officielles autour des événements du 11 septembre 2001 (attaques terroristes et délits financiers) ont toujours eu tendance à m’irriter quelque peu. Mais comme ce n’est jamais à chaud que l’on peut enquêter sur ce type de controverse, sauf à donner dans le panneau, je me suis contenté de prendre des notes et d’attendre, visitant tous les sites Internet qui en parlaient, lisant journaux et ouvrages qui s’engageaient dans l’une ou l’autre des versions ... Car il faut bien avouer que les autorités avaient d’emblée imposé la ligne à suivre : aucune enquête ! Comment voulez-vous enquêter à rebours puisque les décombres furent enlevés et détruits immédiatement après les attaques - avant même que les représentants de la justice n’aient pu les aminer ?
Puis, le temps passant, d’éminents enquêteurs américains ont pu mener des investigations au cœur des systèmes de l’administration américaine et des services de renseignements. Le temps passant les langues ont commencé à se délier au fur et à mesure que le vernis de la version officielle commençait à se lézarder ... Ainsi, cette année 2006 aura-t-elle été riche en publication française d’ouvrages déterminants sortis (est-ce un hasard ?) chez de petits éditeurs comme si, une nouvelle fois, la chape de plomb des Médias autorisés se refusait à laisser passer la moindre bribe d’information compromettante ... Mais comme Le Mague n’est pas inféodé au Grand Capital, et qu’il a vocation de donner une visibilité à ses lecteurs, nous profitons de Pâques qui arrive pour vous inciter à aller voir, justement, du côté de ces fameux petits éditeurs qui font un travail extraordinaire de courage et d’opiniâtreté. Voici un rapide tour d’horizon sur la question pour vous donner envie de lire plutôt que de manger des œufs en chocolats.

Et cela semble s’avérer urgent à la vue des dernières informations qui ont été reprises, par exemple, au soir du 11 septembre 2006, sur LCI notamment, dans Le journal du monde, où Vincent Hervouët s’est soudain mis au diapason avec le numéro 2 de l’ambassade des États-Unis, à Paris (sic). Pour quelle obscure raison, ce journaliste si incisif, toujours à la limite de l’insolence, quand ce n’est pas de l’impertinence vis-à-vis des grands de ce monde - son entretien à Beyrouth, après l’assassinant de Rafic Hariri, avec le président Lahoud est du jamais vu ! - comment cet homme a-t-il pu tomber si bas et présenter les contradicteurs de la thèse officielle comme des simples d’esprit en parlant de complot négationniste (on sent tout de suite les relents d’insultes et le raccourci à l’anathème : complot = antisémite) ? C’est un mystère.

Ce qui est criant de vérité, par contre, c’est la manipulation linguistique qui tente encore de jeter le discrédit sur ceux qui n’adhèrent pas à la version officielle. Les données qui ont prévalu à sa création sont si faibles que ses partisans veulent faire taire toute voix qui souhaite en parler. L’administration Bush s’inquiète du trop de lumière sur ces faits car cela démontrerait qu’il y a mensonge ... Pour tenter de détourner l’attention on emploie à dessein le mot complot ("projet concerté entre plusieurs personnes et dirigé contre un individu, une institution et, particulièrement, contre un gouvernement, un régime", c.f. Larousse). Ainsi on tente d’instrumentaliser le débat en détournant l’attention, en jetant le discrédit. Alors que nous ne parlons ici que de mensonge d’Etat. Car le complot, ce serait plutôt Ben Laden et Cie qui l’aurait instruit, si l’on suit bien la thèse officielle. Donc, d’une manière purement étymologique, nos amis des médias prennent leurs lecteurs, auditeurs et autres téléspectateurs pour des imbéciles ...
Ainsi, utilisé à dessein en lieu et place de mensonge d’État, le mot complot marque au fer rouge celui qui ose penser autrement. En effet, l’inconscient ramène au sulfureux Protocole des sages de Sion, célèbre faux qui est aujourd’hui le modèle par excellence de toute théorie du complot.
Or, la théorie du mensonge d’État n’est nullement antisémite. Elle n’est pas non plus viscéralement antiaméricaine. Elle est objective.
Cette tragédie ne doit pas s’arrêter à démontrer que la version officielle est fausse mais servir à démonter le dictat qui tient d’une main de fer l’administration américaine.

La théorie du mensonge d’Etat est profondément axée sur le respect des victimes et cherche, aussi, à leur rendre hommage à travers cette recherche de la vérité ; car bien des corps n’ont pas été rendus, ou l’ont été dans des conditions qui relèvent de l’absurde ...
La théorie du mensonge d’Etat explore la situation que les attentats du 11 septembre 2001 ont créé sur la planète : tous les conflits qui en ont découlé sont au seul profit de l’administration américaine et de ses alliés industriels.

La théorie du mensonge d’Etat se base aussi sur l’Histoire et la politique étrangère des Etats-Unis depuis un peu plus d’un siècle.

Alors, pourquoi vilipender ceux qui pensent autrement ? Parce qu’ils s’approchent trop près de la vérité ?
Pourquoi refuser de débattre ?
Pourquoi cacher les preuves de la version officielle ?
Pourquoi ne pas montrer les images, par exemple, du Pentagone ? Etc. Etc.

Mais comme par un hasard qui n’existe pas six livres ont paru fin 2006, six livres dont personne ne vous parlera puisque ces six livres osent dire ce qu’il ne faut - surtout ! - pas dire ; six livres écrits par d’éminents chercheurs américains ; six livres déjà publiés aux USA et vendus à des centaines de milliers d’exemplaires ; six livres qu’il faut connaître pour enfin comprendre le monde absurde, dément, infernal dans lequel on vit ... et voir que le 11 septembre 2001 n’est pas l’attentat le plus incroyable du monde moderne, mais bien le crime le plus abject jamais commis.

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Michael Ruppert, Franchir le Rubicon - tome 1 : "Le déclin de l’Empire américain à la fin de l’âge du pétrole" , éditions Nouvelle Terre, 2006.
Un livre événement : 100.000 exemplaires vendus aux État-Unis.
Michael Ruppert est l’éditeur et le rédacteur en chef de From The Wilderness ("En direct de la Jungle"), un journal américain paraissant sur Internet qui est lu dans une quarantaine de pays par plus de 16.000 abonnés. Ancien inspecteur des "stups" du "Los Angeles Police Department" (LAPD), il est aujourd’hui largement connu aux États-Unis
et ailleurs pour ses articles fracassants sur l’implication des USA dans le commerce de la drogue, le Pic Pétrolier et le 11 septembre.
Il est à noter que depuis trois mois, Michael Ruppert a du fuir au Vénézuela pour sauver sa vie ; les menaces qui pesaient sur lui devenaient trop pressantes ; c’est pour cela qu’il a ouvert la totalité de son site en accès gratuit. N’hésitez pas à le consulter avant que la CIA ne le détruise ...

David R. Griffin, Le Nouveau Pearl Harbor, éditions Demi Lune, 2006
Partant de l’idée que ceux qui profitent d’un crime devraient faire l’objet d’une enquête, l’universitaire David Ray GRIFFIN passe au crible les faits concernant les attaques du 11 Septembre.
Il commence par des questions simples : lorsque le contact radio a été perdu avec les avions, pourquoi les avions de chasses n’ont-ils pas immédiatement décollé depuis la base militaire la plus proche ? Pourquoi l’explication de l’administration Bush à propos de la non-intervention des chasseurs a-t-elle été modifiée dans les jours suivants les attaques ? Les questions gênantes ne s’arrêtent pas là : elles émergent de chaque partie du tableau, sous quelqu’angle que l’on se place, jusqu’à ce qu’il s’avère impossible de ne pas soupçonner les architectes de la version officielle d’avoir édifié une énorme tromperie. Enseignant l’éthique et la théologie, GRIFFIN écrit avec une logique irrésistible, encourageant ses lecteurs à tirer leurs propres conclusions à partir des preuves.

Victor Thorn, Le procès du 11 septembre (Postface de David Ray Griffin), éditions Demi Lune, 2006.
Le procès du 11 septembre est le résultat de plus de trois ans d’enquêtes
menées sans relâche de manière indépendante par de nombreux
journalistes, chercheurs et organisations, pour savoir ce qui est survenu (et ce qui n’est jamais arrivé) à New York ce jour-là.
Le procès du 11 septembre détruit de façon systématique et formelle le mythe selon lequel les tours jumelles furent détruites du simple fait des impacts des avions-suicides et des incendies qui les ont suivis, occasionnant ainsi le meurtre de près de 3 000 personnes en ce jour fatidique.

Webster G. Tarpley, La terreur fabriquée, Made in USA, éditions Demi Lune, 2006.
Historien spécialisé dans le terrorisme après la seconde guerre mondiale, journaliste, Webster G. TARPLEY, s’est fait connaître en 1978 par son enquête sur l’assassinat d’Aldo Moro, à la demande de parlementaires italiens. Sa biographie de George W. Bush père et ses essais sur les dérives fascistes du gouvernement américain en font un opposant farouche du gouvernement actuel des États-Unis.
"Le terrorisme
d’origine incertaine, utilisé comme justification de guerres menées à l’étranger et contre ses propres citoyens : une étude comme La terreur fabriquée de M. TARPLEY était attendue depuis longtemps et ouvrira, espérons-le, les yeux de nombreuses personnes.
" Gerhard WISNEWSKI, producteur de télévision allemand, auteur de Operation 9/11 et de Mythos 9/11.

Nafeez Mosaddeq Ahmed, La guerre contre la vérité, éditions Demi Lune, 2006.
Nafeez Mosaddeq Ahmed est à la tête de l’Institute for Policy Research & Development de Brighton. Son livre, La guerre contre la liberté : Comment et pourquoi l’Amérique a été attaquée le 11 septembre 2001, est un bestseller qui lui a valu la plus haute distinction littéraire italienne, le Prix de Naples.
Titulaire d’une maîtrise à l’Université du Sussex, il y prépare actuellement un doctorat en Relations Internationales. Chroniqueur politique pour la BBC, Nafeez Ahmed a été élu expert mondial pour la guerre, la paix et les affaires internationales par le Freedom Network de l’International Society for Individual Liberty en Californie.

David R. Griffin, Omissions et manipulations de la Commission d’enquête, éditions Demi Lune, 2006.
Aux États-Unis, tant les leaders politiques que la grande majorité des médias se sont empressés d’adopter le rapport officiel de la Commission d’enquête comme la réponse définitive sur les événements qui ont mené à cette journée dramatique et insensée. Auteur du Nouveau Pearl Harbor (ouvrage qui examine les questions soulevées par des reporters, des témoins et des observateurs politiques), David Ray Griffin démontre que la volonté première de la Commission n’a jamais été d’établir la vérité sur la tragédie du 11 Septembre, pas plus de savoir comment elle aurait pu être évitée, mais bien au contraire de défendre coûte que coûte la version officielle des faits.
Le document de la Commission, un best-seller dans sa catégorie, a donné le change de par sa taille et sa finesse narrative. Mais sous l’examen critique et méticuleux de Griffin , le Rapport Kean-Zelikow perd rapidement son vernis de crédibilité.
Le travail critique de David Ray Griffin montre clairement que la Commission chargée de l’enquête officielle sur le 11 Septembre a tout mis en œuvre pour masquer la vérité, alors que son rôle était de l’exposer au grand jour. Pour reprendre l’auteur, il s’agit d’un travail "au mieux plein de vices de forme, au pire d’un ensemble de mensonges audacieux."
Après la lecture de ce livre argumenté de façon implacable, la partialité de la commission d’enquête apparaît manifeste. Il devient également difficile de croire que l’administration Bush n’a pas, au minimum, délibérément décidé de laisser se produire le 11 Septembre, ainsi qu’en sont désormais convaincus plus de la moitié des New-Yorkais.
"Au final, le rapport de la commission d’enquête sur le 11 Septembre, loin de diminuer mes soupçons sur une complicité officielle, a servi à les confirmer. Pourquoi les responsables chargés du rapport final s’engageraient-ils dans une telle supercherie, si ce n’était pour tenter de couvrir des crimes très graves ?"
David Ray Griffin
"Avec ce nouveau livre, David Ray Griffin établit sa réputation, aux côtés de Seymour Hersch, comme le principal vecteur de vérités publiques aussi déplaisantes que nécessaires."
Richard Falk (préfacier), professeur émérite, Université de Princeton.