S’il existe encore des bonnes Fées en forêt de Brocéliande (aujourd’hui forêt de Paimpont), quelle émotion d’imaginer qu’elles puissent avoir l’étrange beauté, le mystère et la profondeur des yeux, ainsi que la voix suave de cette belle fleur de Bretagne répondant au doux nom de Nolwenn Leroy.

Nolwenn est un peu la fille de la terre, de la mer et des légendes celtiques.

Nolwenn est aussi et avant tout une artiste plus que complète qui sait jouer du violon, chanter du lyrique, de la variété et compose également.

Elle a un cœur aussi grand que son beau pays breton et lorsqu’elle s’engage dans l’humanitaire ou le caritatif, ce n’est certainement pas pour répondre à une mode qui consiste à se mettre en avant dans de telles missions. L’humanitaire voyage dans son sang depuis sa plus tendre enfance. Comme ses sœurs et ses frères bretons, elle est ouverte aux autres et sur le monde, généreuse, allant jusqu’au bout de ce qu’elle entreprend, sans jamais faillir.

Nolwenn Leroy est la nouvelle grande voix de la chanson française. Elle a tout d’une grande et un talent digne d’Edith Piaf (à écouter et à voir, ce soir sur TF1)… sous les traits d’un ange. Son timbre de voix est une pure merveille et vous procurera d’agréables frissons dans le creux des reins.

Nolwenn devrait effectuer, assurément, une très belle carrière nationale et internationale… surtout entourée par de bonnes personnes comme Laurent Voulzy.

Elle participera au concert des « enfoirés » du 2 mars 2007, sur TF1.

Dès le mois de juin, elle sillonnera les routes de France pour la seconde partie de son album « Histoires Naturelles Tour ».

Le prochain single extrait de l’album sera « j’aimais tant t’aimer » et la promotion débutera en mars ou avril.

Que Laurette Fugain et l’Abbé Pierre puissent veiller sur cette jolie petite personne encore longtemps.